Dans un article de Didier Déniel portant titre «Le Québec fait de la résistance» paru dans le Télégramme du samedi 17 août 2019 est faite la démonstration de l’attachement des Québécois la langue française.

Ce que je défends, quant à moi, en permanence, comme je le fais depuis de très longues années, pour le Français mais également pour toutes les langues qu’elles soient régionales et/ou minoritaires dans tous les Pays.

Il est évident que le respect de ce Patrimoine culturel découle naturellement de l’importance que l’on accorde au respect des  Citoyens dans une… Démocratie.

Ce que, malheureusement, la France qui se targue pourtant d’en être le berceau, oublie trop souvent et en devient même, au fil du temps et du mépris affiché, un pâle reflet.

En refusant par exemple – après l’avoir signée en 1999 –  de ratifier, démons-tration d’une volonté jacobine rétrograde, « La Charte européenne des langues régionales ou minoritaires » de 1992. (*)

Ci-après un poème présenté lors du XII° Sommet de la Francophonie à Québec en octobre 2008…

(*)  La Charte européenne des langues régionales ou minoritaires est une convention internationale qui a été proposée à l’adhésion des États membres du Conseil de l’Europe en 1992. Son élaboration remontait au début des années 1980 et elle ne put commencer à être mise en application qu’à partir de 1998. Après cette phase d’émergence un peu longue, elle connaît maintenant du succès depuis que de nombreux grands pays, notamment d’Europe occidentale, y ont adhéré, la France étant un des seuls à ne pas l’avoir fait en s’appuyant sur des conceptions de monolinguisme officiel et public très strict.                                                                                         Alain VIAUT   https://halshs.archives-ouvertes.fr/halshs-01411579/document