Professionnel de la politique, depuis 1981, Gérard Collomb est de ceux qui refusent depuis, les réformes institutionnelles, indispensables que l’association BCE présente depuis 1989.
Sénateur, ardent défenseur du cumul de mandats, il était en effet, avant de devenir ministre, maire de Lyon et président de la Métropole de Lyon.
Ce qui, n’ayant pas le don d’ubiquité, le plaçait, comme de trop nombreux parlementaires, dans la situation du délit «de profit d’un emploi fictif.»
A preuve, le fait qu’il ait vu et avait déclaré alors avoir des fins de mois difficiles, ses indemnités parlementaires réduites, en janvier dernier, par le président Gérard Larcher, à… 4000 euros pour cause …d’absentéisme! (*)
Les citoyens seront dorénavant rassurés quand ils poseront la question «Où est Gérard Collomb?» d’entendre «Il est… à l’Intérieur!»
Gérard Collomb lui, respire, il va toucher mensuellement 9 440 euros bruts mensuels.
Nommé ministre pour services rendus c’est bien!
Reste à espérer que, convaincu par le président Macron, il retrouve les vertus de la Démocratie et du respect des Citoyens et aide le premier ministre Edouard Philippe pour que le projet de loi «moralisation de la vie publique…» ne reste pas qu’une promesse de campagne.
(*) http://www.huffingtonpost.fr/…/gerard-collomb-vit-un-cauche… /
Moralisation de la vie politique : http://www.blanccestexprime.fr/?p=796
Saint-Brieuc le 19 mai 2017