DES REFORMES INDISPENSABLES ET URGENTES

« Pour redonner une chance à la Démocratie »


DES REFORMES INDISPENSABLES ET URGENTES

Anticipant, ce qui était prévisible, sur une nouvelle désaffection des urnes par les électeurs, un « Ultimatum » a été transmis, avant le premier tour des cantonales, au président de la République, au premier ministre, aux partis politiques.


Dans ce dernier étaient rappelées toutes les propositions de lois présentées et restées lettres mortes, méprisées par les élus et les partis depuis 1989.

Ces propositions, votées, sont pourtant de nature à redonner vie à la Démocratie, confiance aux citoyens dans leurs représentants et à les ramener vers les urnes.

Or depuis les cantonales les partis et les politiques sont retournés « à leurs affaires » oublieux de leurs propres responsabilités dans la montée des abstentions d’où l’annonce de la présente candidature ! 


Chaque jour il est promis aux Français des jours meilleurs. Demain « on rase gratis »


Les réformes immédiates à faire pour redonner une vraie démocratie à la France (*) :


reconnaissance du vote blanc comme étant un suffrage exprimé : Pas de vote obligatoire (la carte d’électeur fait office de Juge de Paix


loi de 1995 concernant le financement publique des partis politiques pour redonner plus d’indépendance aux élus, éviter les abus de position dominante des partis et permettre de faciliter l’émergence de nouvelles compétences en s’appuyant sur l’apport d’une part représentation proportionnelle. Cela pour éviter le bipartisme voire, plus grave l’avènement d’un parti unique. Ceci étant accompagné dans un souci de justice, d’une dose de proportionnelle pour permettre une représentation logique, équitable des électeurs.

Loi concernant l’Inéligibilité à vie de tout élu ayant été impliqué et condamné dans le cadre de la gestion de fonds publics 

-Loi interdisant l’amnistie des élus par les 2 Chambres …

-D’autres réformes dépendant de la réforme territoriale  restent à l’ordre du jour.

- Loi contre le cumul des mandats basé sur le principe « un Homme un mandat » pour ne plus voir perdurer, en Europe, la triste et scandaleuse exception française source de la majorité des maux que connaît notre Société.

 

Je maintiendrai ma candidature jusqu’au bout -  en souhaitant obtenir les 500 signatures -  si, dans l’urgence, les parlementaires ne prennent pas conscience de leurs responsabilités en votant ces lois avant la fin de l’année.

Ma décision sera déterminée en fonction de la volonté des parlementaires de mener à bien les réformes institutionnelles fondamentales dont les décrets d’application seront promulgués.(*)